Auteurs de 11 recueils de poésies & chansons William écrit depuis le début des années 90.
Son amour pour les bons mots lui confère un style vif et ciselé où la poésie et la profondeur des sentiments tiennent une place d’honneur.
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En vous elle s’enracine
Vous ronge la cervelle
D’une humeur assassine
C2
Elle a ses rituels
Des manières de vieille fille
Vous provoque en duel
Danse avec sa faucille
Préref1
Ça n’arrive pas qu’aux autres
Comme on pouvait le croire
Des vents mauvais colportent
De faux bruits de couloirs
Ref1
L’amante religieuse
La maladie d’aimer
Comme elle semble envieuse
De tant d’amour caché
Elle valse à l’envi
Dans son grand bain de sang
Un sang souillé d’envie :
D’envie d’aimer pourtant
C3
De son regard cruel
Elle perce, elle étrille
Vous condamne à l’autel
Des vertus banderilles
Préref1
Ça n’arrive pas qu’aux autres
Faut-il encore le dire ?
Tous ses mauvais apôtres
Frappent sans prévenir
Ref2
L’amante religieuse
La maladie d’aimer
Comme elle semble heureuse
De tant d’amour gâché
Elle valse à l’envi
Dans son grand bain de sang
Un sang souillé d’envie :
D’envie d’aimer pourtant
Pont
La culpabilité
Est le nerf de sa guerre
En toute immunité
Elle surprend par derrière
Ses folles processions
Vous laissent sans défense :
C’est l’effet papillon
De nuits de transe
Ref3
L’amante religieuse
La maladie d’aimer
Comme elle semble envieuse
De tant d’amour caché
Elle valse à l’envi
Dans son grand bain de sang
Un sang souillé d’envie :
D’envie d’aimer pourtant
Ces mots ne sont écrits
Que pour toi
Toi que j’aime et qui
Ne le sais pas
Une chanson du bout
De mes doigts
Pour te parler de nous
Mais qui n’ose pas
Ref1
Comment te les dire
Ces mots qui
Se glissent et se cachent
Entre mes lignes ?
Saurais-je franchir
Le pas qui
Oh ! Te permettra
D’y voir un signe ?
C2
Ces mots se sont tapis
Là sans voix
Ils y sont blottis
Trop à l’étroit
Et ma chanson du coup
Malgré moi
Chargée de rêves fous
S’envole vers toi
Ref1
Comment te les dire
Ces mots qui
Se glissent et se cachent
Entre mes lignes ?
Saurais-je franchir
Le pas qui
Oh ! Te permettra
D’y voir un signe ?
Pont
Les paroles que ma main signe
Se surprennent
A vouloir croiser les lignes
De la tienne
A chasser de mon cœur
Ma peur
Mon secret
D’un seul trait, mais…
Ref2
Sauras-tu les lire
Noirs sur noir
Ces mots qui se cachent
Entre mes lignes ?
Qui tournent et qui virent
Dans l’espoir
Qu’en eux tu pourras
Y voir un signe !
Ref3
Comment te les dire ?
Sauras-tu les lire ?
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Si c’est sentir s’ouvrir mon cœur
Quand s’adresse à moi ton sourire
Si c’est abandonner mes pleurs
Au risque d’à nouveau souffrir
Si c’est cet air de plénitude
Qui vient contre vents et marées
Me tirer de ma solitude
Du bleu d’autrefois, des regrets
C2
Si c’est sentir pousser des ailes
A tant de désirs réprimés
Si c’est vouloir toucher le ciel
A l’horizon redessiné
Si c’est ne plus craindre le vide
Quand le jour prévoit ton absence
Avancer d’un pas plus solide
Rien qu’en songeant à ta présence
Ref1
Si c’est ça…
Si c’est ça Rêver alors…
Si c’est ça…
Si c’est ça Rêver alors
Je revis, je revois
Ma vie comme un possible rêve
C3
Si c’est brûler de te toucher
Frémir en croisant ton odeur
Et cette furie d’exister
En croquant la vie à plein cœur
Si c’est la force d’accepter
Le meilleur… comme le pire
Avec l’envie de partager
Tout ce qui nous fera grandir
Ref2
Si c’est ça…
Si c’est ça Rêver alors…
Si c’est ça…
Si c’est ça Rêver alors
Je revis, je revois
Ma vie comme un possible rêve
Pont
Je n’aurais jamais imaginé
A nouveau sourire à la Vie
Je n’aurais jamais osé
Mais si…
Ref3
Si c’est ça…
Si c’est ça Rêver alors…
Si c’est ça…
Si c’est ça Aimer alors
Je revis, je revois
Ma vie comme un vivant poème
Ref4
Et si c’est ça…
Si c’est ça Aimer alors…
Si c’est ça…
Oui, tout ça Aimer alors
…
Je t’aime !
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
Quand le
Ciel vient à nous manquer
Que tout autour semble figé
Quand
les fantômes du passé,
Quand le remord vient nous ronger…
Ne
reste-t-il pas le Présent
Pour espérer ?
Ce
chapelet de courts instants
Qui laissent encore à rêver ?
S’il nous faut vivre
Dans la douleur ou les fous rires
Il nous faut vivre
Quoi que les autres puissent en dire
La Confiance ancré dans le Cœur
La Vie nous portera toujours
Vers ce qu’elle offre de meilleur !
A la Vie, à l’Amour !
Quand le
Ciel vient à nous manquer
Que tout nous lasse et nous défait
Quand la peur s’accroche aux regrets
Quand l’avenir nous fait trembler…
Ne
reste-t-il pas le Présent
Pour allumer
Les feux d’une prière au vent
La Joie
d’un sourire apaisé ?
S’il nous faut
vivre
Dans la douleur ou les fous rires
Il nous faut
vivre
Quoi que les autres puissent en dire
La Confiance ancré dans le Cœur
La Vie nous portera toujours
Vers ce qu’elle
offre de meilleur !
A la Vie, à l’Amour !
Il nous faut vivre…
Vivre…
… La Vie nous portera toujours
… A la Vie, à l’Amour !
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Chanter la nuit, le jour,
Le soleil et la pluie
Le long, le court
Le bonheur et l’ennui
C2
Chanter le laid, le beau
La forêt, le béton
Le froid, le chaud
La folie comm’ la raison
Ref1
Chanter comme on respire
À chaque battement de cœur
Chanter pour ne rien dire
D’autre que la joie, la peur
Toujours et encore
A s’user la voix, chanter même
De plus en plus fort
Jusqu’à perdre haleine
C3
Chanter le ciel, la Terre
L’orage et l’éclaircie
Le feu, la mer
L’amour, la jalousie
C4
Chanter le bien, le mal
Les saisons, l’habitude
Le vif, le pâle
La foule et la solitude
Ref2
Chanter comme on respire
À chaque battement de cœur
Chanter pour ne rien dire
D’autre que la joie, la peur
Toujours et encore
A s’user la voix, chanter même
De plus en plus fort
Jusqu’à perdre haleine
Pont
Pour rendre grâce
Ou condamner
Pour faire face
A tout ce qui pourrait
Nous désenchanter…
Allez, vous aussi, chantez !
Ref3
Nananananana Nananananana…
Ref4
Chanter comme on respire
À chaque battement de cœur
Chanter pour ne rien dire
D’autre que la joie, la peur
Toujours et encore
A s’user la voix, chanter même
De plus en plus fort
Jusqu’à perdre haleine
Ref5
Encore et encore…
Encore et plus fort
Jusqu’à perdre haleine.
C1
Si l’on faisait un simple pas
Vers cet autre que l’on voit
Si différent de nous…
On verrait qu’il ne nous est pas
Tellement étranger que ça
Et ce serait beaucoup !
Préref1
Mais voilà nous ne voyons pas…
Non, nous ne voyons pas pourquoi !
Pour quoi ?
Pourquoi ?!
Ref1
Et dire qu’il nous suffirait
De le vouloir pour commencer
A bâtir un monde meilleur
(Un monde de paix)
Oh ! Dire qu’il nous suffirait
D’oser y croire pour marcher
Contre tant d’esprits diviseurs
(Unis dans la paix)
C2
Si l’on tendait juste la main
Que l’on se rapprochait enfin
Sans un a priori…
On entendrait j’en suis certain
Tous nos cœurs qui battraient comme un
Au tempo de la vie !
Préref2
Mais voilà nous n’entendons rien…
Non, nous n’entendons rien à rien !
Non, rien
A rien !
Ref2
Et dire qu’il nous suffirait
De le vouloir pour commencer
A bâtir un monde meilleur
(Un monde de paix)
Oh ! Dire qu’il nous suffirait
D’oser y croire pour marcher
Contre tant d’esprits diviseurs
(Unis dans la paix)
Pont
En somme notre différence
Multiplie nos points communs
Mais le feu des apparences
Divise tous en chacun
Pourtant quand elle est partagée
L’Empathie grandit
Oui, plus elle est partagée
Plus elle nous grandit
Ref3
Et dire qu’il nous suffirait
De le vouloir pour commencer
A bâtir un monde meilleur
(Un monde de paix)
Oh ! Dire qu’il nous suffirait
D’oser y croire pour marcher
Contre tant d’esprits diviseurs
(Unis dans la paix)
Final
Et dire qu’il nous suffirait
D’y croire enfin pour commencer.
C1
Faudrait-il donc voir
Ou tout blanc ou tout noir
Sans jamais nuancer ?
Effet de miroir…
C2
Faudrait-il avoir
Tort ou raison ? Prévoir
Dans quel camp se ranger ?
Sortie de placard…
Préref1
Est-il bon pour asseoir
Un semblant de pouvoir
De toujours, toujours diviser ?
Et quel pion avancer ?
Ref1
Etrange jeu de drames
Qui foudroie le quidam
Qui dans sa tour ne sait
Qui règne sur l’échiquier
Etre ange au jeu de drames
Vous conduit, vous condamne
A passer pour fou à lier
Face à des enjeux cavaliers
C3
Si broyer du noir
Redonnait l’espoir
Qui faudrait-il tromper ?
Faut l’ voir pour le croire…
Préref2
Est-il bon de devoir
Faire souffrir pour voir
Sa douleur sur l’heure apaisée ?
A quel pion se vouer ?
Ref2`
Etrange jeu de drames
Qui foudroie le quidam
Qui dans sa tour ne sait
Qui règne sur l’échiquier
Etre ange au jeu de drames
Vous conduit, vous condamne
A passer pour fou à lier
Face à des enjeux cavaliers
Pont
Quand la vie laisse un goût d’échec
Un sombre air revêche qui mate
S’il nous faut bien survivre avec
En nous ça sonne sec et mat !
Ref3
Etrange jeu de drames
Qui foudroie le quidam
Qui dans sa tour ne sait
Qui règne sur l’échiquier
Etre ange au jeu de drames
Vous conduit, vous condamne
A passer pour fou à lier
Face à des enjeux cavaliers
C1
De travers, de bais
L’œil torve et secret
Il s’avance comme ça…
Toujours sur ton dos
Il t’a dans la peau
Il en pince pour toi…
Quand serrera-t-il
Celle qui lui sert de bras ?
Ref1
Quand c’est rigoureusement
Qu’en serpent fourbe il te tend
Le caducée…
Là oui tu sais
Qu’en ses redoutables dents
Tient tout l’art d’un provocant
Cercle vicieux…
L’art d’apprécier nos cieux
C2
Pris dans son panier
Nasse refermée
Il prépare le repas…
Sans sauce mayo
Au rayon chimio
Ses dix pieds dans ton plat…
Quand servira-t-il…
Celui qui se mange froid ?
Ref2
Quand c’est rigoureusement
Qu’en serpent fourbe il te tend
Le caducée…
Là oui tu sais
Qu’en ses redoutables dents
Se tient l’ombre d’un vacant
Cercueil hideux…
L’ombre de nos adieux !
PontA1
Dans ses démarches pitoyables
Sauras-tu faire valser le crabe ?
PontB1
Car quand son carcan serre
Tout part…
Tout part…
Tout part de travers !
Ref3
Quand c’est rigoureusement
Qu’en serpent fourbe il te tend
Le caducée…
Là oui tu sais
Qu’en ses redoutables dents
Tient tout l’art d’un provocant
Cercle vicieux…
L’art d’apprécier nos cieux !
PontB2
Quand son carcan serre
Tout part…
C3
De travers, de bais,
L’œil torve et secret
Il s’éloigne parfois.
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Sentir mon corps de tout son poids
Sur l’herbe en bouquets de printemps
Respirer
M’éveiller aux parfums des bois
Prendre soin d’écouter le temps
Me pardonner
Ref1
Et me sentir vivre !
J’ai tenté si souvent
D’oublier ce corps
Qui lui ne m’oublie jamais
Me sentir libre
De vibrer chaque instant
De plus en plus fort
Jusqu’à me retrouver
C2
Goûter sur le bout de mes doigts
La pluie, le vent dans mes cheveux
Méditer
Marcher pour revenir à moi
La tête couronnée de feu
Trouver la Paix
Ref2
Et me sentir vivre !
J’ai tenté si souvent
D’oublier ce corps
Qui lui ne m’oublie jamais
Me sentir libre
De vibrer chaque instant
De plus en plus fort
Jusqu’à me retrouver
Pont
J’ai pleuré sur mon sort
A demi-mort
La peur incrustée dans le sang…
Moitié vivant, suffisamment…
Ref3
Pour me sentir vivre
J’ai tenté si souvent
D’oublier ce corps
Qui lui ne m’oublie jamais
Me sentir libre
De vibrer chaque instant
De plus en plus fort
Jusqu’à me retrouver
Ref4
Et vivre ... Vivre !
N’oublie jamais
De vivre… Libre !
Se retrouver.
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C1
Pour vous faire rêver
Ils déroulent à vos pieds
Des tapis de promesses
Dans de savants manèges
Vous vantent des privilèges
Aux parfums de l’ivresse
Préref1
Et si un « Tiens ! »
Vaut mieux que deux « Tu l’auras »
La lueur d’un bonheur certain
Laisse un goût de « je ne sais quoi »
Ref1
Les hypocrites du tapis rouge
Hypocondriaques du profit
Ne tendent la main ou ne bougent
Que s’ils en tirent un bon parti
Sur d’hypnotiques tapis rouges
D’hypothèses en calculs précis
A la mesure de leur fougue
Ils vous accordent du crédit
C2
Pour vous changer la vie
Ils encensent vos envies
Vos espoirs de jeunesse
A grand renfort de crème
Inventent de stratagèmes
Pour les foules en liesse !
Préref2
Et s’ils ne prêtent rien…
Rien qu’à qui le leur rendra
La tentation guide les mains
Qui s’accrochent au pouvoir d’achat
Ref2
Les hypocrites du tapis rouge
Hypocondriaques du profit
Ne tendent la main ou ne bougent
Que s’ils en tirent un bon parti
Sur d’hypnotiques tapis rouges
D’hypothèses en calculs précis
A la mesure de leur fougue
Ils vous accordent du crédit
Pont
Tapis rouges, tapis volants
Flottent nos rêves… rêves d’enfants
Tapis velours, tapis violents
Tisseurs de rêves… rouge sang !
Ref3
Les hypocrites du tapis rouge
Hypocondriaques du profit
Ne tendent la main ou ne bougent
Que s’ils en tirent un bon parti
Sur d’hypnotiques tapis rouges
D’hypothèses en calculs précis
A la mesure de leur fougue
Ils vous accordent du crédit
A trop mordre la poussière
Pour survivre je rêvais
Que je dansais sur la lune…
A fuir sans une prière
Je me suis inventé
Des radeaux de fortune
Auxquels si souvent
Je me suis agrippé
Sans lesquels pourtant
Je me serais noyé
Vague à l’âme
Vaguement
Je divaguais l’âme
Sur un océan
Vague à l’âme
Vagabond
Seul je voguais l’âme
Bercée d’illusions
Pour éloigner la tristesse
Qui habillait mon cœur
D’un épais manteau de brume…
J’ai cru trouver la promesse
D’une idée du bonheur
Sous des vents d’amertume
Sous lesquels souvent
Mon espoir s’est glacé
Sans lesquels pourtant
Je ne t’aurais croisé
Vague à l’âme
Vaguement
Je divaguais l’âme
Sur un océan
Vague à l’âme
Vagabond
Seul je voguais l’âme
Bercée d’illusions
Prisonnier de mes voiles
Comme tombée d’une étoile
J’ai entendu ta voix
Qui murmurait mon prénom
Ta voix…
Mon prénom
Vague à l’âme
Vaguement
Je divaguais l’âme
Sur un océan
Vague à l’âme
Vagabond
J’ai croisé ta flamme
Un nouvel horizon
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
Si les murs ont des oreilles
Les siens ont aussi des yeux
En plus chez Mamie Mireille
Ils vous parlent même un peu
Mais rien ne vaut ses commentaires
A la lueur de ses yeux clairs
Préref1
Alors d’images en visages
Elle vous conte l’épopée
Du valeureux équipage
Qu’elle et tous les siens formaient…
Sur tous les murs de sa maison
Il y en a de tous
Ses petites filles, ses grands garçons
En noir et blanc
Ou en couleurs
Chacune d’elles en
Double dans son cœur !
C2
Si l’on prête bien l’oreille
On sent la tarte et le mousseux Mireille
Autour de Mamie Mireille
Des fous-rires au coin du feu
Et rien n’a su la rendre amère
Ni les orages, ni les guerres
Préref2
Et de baptêmes en mariages
On voit vieillir les aînés
Puis s’effacer leur image
Au fil du temps, des années…
Refrain2
Y a des photos partout
Sur tous les murs de sa maison
Il y en a de tous
Ses petites filles, ses grands garçons
En noir et blanc
Ou en couleurs
Chacune d’elles en
Double dans son cœur !
Pont
Et quand on pense avoir tout vu
Et tout connaître de sa vie
Elle retrouve un album perdu
Sous un tas d’autres un peu jaunis
Ses photos sont les bagages
D’immobiles traversées
Avec elles elle voyage
Entre deux éternités…
Refrain3
Il y en a partout
Sur tous les murs de sa maison
Il y en a de tous
Ses petites filles, ses grands garçons
En noir et blanc
Ou en couleurs
Chacune d’elles en
Double dans son cœur !
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Je tremble En songeant à demain
Ensemble Jusqu’au petit matin
Embrassons chaque instant
Sa douce étincelle… offerte au présent
C2
J’ai froid Me voyant dans ce train
Ses voies Parallèles et sans fin
Précipitent un hiver
Qui fige mes ailes… d’une main de fer
Ref1
Mais ces jours qui viennent
Faire de l’ombre à notre amour
Sous leurs grands airs d’apocalypse
Ne seront pas éternels
Non, ces jours qui viennent
N’annoncent que le retour
D’une insolente éclipse…
Partielle
C3
Je crains De sombres lendemains
Chagrin Mon cœur trop loin du tien
Ne brille qu’à moitié
Puisque l’une d’elles… brûle à tes côtés
Ref2
Ces jours qui viennent
Faire de l’ombre à notre amour
Sous leurs grands airs d’apocalypse
Ne seront pas éternels
Non, ces jours qui viennent
N’annoncent que le retour
D’une insolente éclipse…
Partielle
Pont
Rien ne saura obscurcir
Notre amour sidéral !
Rien ne pourra l’assombrir
Pas même une éclipse… totale
Ref3
Ces jours qui viennent
Faire de l’ombre à notre amour
Sous leurs grands airs d’apocalypse
Ne seront pas éternels
Non, ces jours qui viennent
N’annoncent que le retour
D’une insolente éclipse…
Partielle
C1A
La pluie me l’avait apportée
Un matin de novembre
Gracile et irisée
Dans la lumière d’ambre
La pluie l’avait posée
Sur des brumes d’aurore
Sous un soleil mouillé
Teinté de pourpre et d’or
C1B
Et je la vis perler
Au front de ma fenêtre
Soumise, abandonnée
A l’attraction terrestre
Et je la vis rouler
Le long des mes carreaux
Sur la vitre embuée…
La goutte d’eau
C2A
Puis du rebord elle est tombée
Au creux de la rigole
Rampant sur les galets
Frôlant trois herbes folles
Fougueuse elle a sauté
Filant vers l’inconnu
Sous les feuilles rouillées
Je l’ai perdue de vue
C2B
Je l’ai imaginée
Dans ses doutes fugaces
Glissant sur les pavés
Armée de son audace
Je l’ai imaginée
Semblant donner l’assaut
Aux pierres délavées…
La goutte d’eau
C3A
Sans doute a-t-elle retrouvé
Au fil de providences
D’autres sœurs enjouées
Partageant son errance
Poursuivant son trajet
Au lit d’une rivière
Sur un fleuve argenté
Vers le bleu de la mer
C3B
Et dans l’immensité
De leurs eaux si profondes
Elle s’est ressourcée
Dans le fracas des ondes
Aux éléments mêlée
Dans l’écume des flots
Elle est toujours restée…
La goutte d’eau
C4A
Furtive, je l’ai vue passer
…
C4B
Son souvenir gravé
Au flou de ma fenêtre
En moi vient ranimer
Sa beauté, la joie d’être
Furtive elle est passée
Portant comme en écho
Le bonheur d’exister…
La goutte d’eau.
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Je ne dois rien à personne
Je suis un self made man
J’ai forgé ma couronne
A la texane
C2
Non ! Je n’ dois rien à personne
Je suis un self made man
Et tant pis si ça sonne
Mégalomane
PR1
OK ! Sans les rencontres on n’est rien
Oui mais Sans ma rage… à gagner du terrain
En serais-je où j’en
suis ?
Refrain
Je suis un boss
J’aime qu’on me brosse
Dans le sens du poil
Je suis un boss
Plutôt beau gosse
Chic et magistral
Je suis un boss, boss, boss
Fait à ma sauce, sauce, sauce
Testostéroneuronale
C3
Je n’suis le fils de personne
Je suis un self made man
Que les dieux me pardonnent
Mes vues profanes.
PR2
OK ! On ne nait pas orphelin
Oui mais Sans ma rage… à renier d’où je viens
Serais-je qui je
suis ?
Refrain
Je suis un boss
J’aime qu’on me brosse
Dans le sens du poil
Je suis un boss
Plutôt beau gosse
Chic et magistral
Je suis un boss, boss, boss
Fait à ma sauce, sauce, sauce
Testostéroneuronale
Pont
J’suis pas là pour chercher l’embrouille
J’ai prouvé que j’avais des… dispositions.
J’suis pas style à rentrer bredouille
Je gère quand ça part en… full séduction !
Si j’ marche à l’adrénaline
C’est pas juste pour la frime
C’est pour mon business plan !
‘Cause I’m a self made man !
Refrain
Je suis un boss
J’aime qu’on me brosse
Dans le sens du poil
Je suis un boss
Plutôt beau gosse
Chic et magistral
Je suis un boss, boss, boss
Fait à ma sauce, sauce, sauce
Testostéroneuronale
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Dévore-moi des yeux
Ecoute-moi du bout de tes doigts
Délivre-moi du feu
Qui sèmerait le doute en toi
C2
Laisse-toi prendre au jeu
Fixe les règles, édicte nos lois
Attise en moi le vœu
De n’aspirer qu’à fleur de toi
Préref1
Enivre-moi de tendres mots
Habille-moi de tes silences
Fais de moi ton Eldorado
Et nous rebâtirons Byzance
Ref1
Jette-moi dans tes bras
Et dis-moi que tu m’aimes
Comme un acte de foi
Qui sans elle est œuvre vaine
Joins la parole aux gestes
Et vice versa
Ils seront, j’en atteste
Tout ce qui nous justifiera
C3
Conduis-moi où tu veux
Je te précède au vent de tes choix
Et dans ce pas de deux
Seul notre amour nous guidera
Préref2
Je sertirai d’or chaque mot
Je cisèlerai mes silences
Tu seras mon Eldorado
Et nous partirons pour Byzance
Ref2
Jette-toi dans mes bras
Entends comme je t’aime
C’est mon acte de foi
Qui sans elle est œuvre vaine
La parole et le geste
Et vice versa
Ils sont bien, j’en atteste
Tout ce qui nous justifie là
Pont
Justifions nos promesses
Justifie-toi par moi
Justifions-nous sans cesse
Justifie-moi pour toi
Ref3
Jette-moi dans tes bras
Redis-moi que tu m’aimes
Comme un acte de foi
Qui sans elle est œuvre vaine
Joins la parole aux gestes
Et vice versa
Ils seront, j’en atteste
Tout ce qui nous justifiera
Jette-toi dans mes bras…
Et vice versa
Et vice versa
C1
Quand gronde le temps des reproches
Que la foudre s’abat sur des cœurs en morceaux
Quand trop de nuages noirs s’accrochent
A des riens… et vous roulent sous leurs flots
Préref1
Des ombres vagues jettent
Du flou dans les regards
Plus rien de nous ne s’y reflète ;
Sombres miroirs !
Ref1
Je rends les armes
Non, je ne veux plus mordre
Aux poussières des batailles
Aux appâts des ombres au tableau
Je rends les armes
Je ne veux plus répondre
Aux rafales, aux mitrailles
Au feu des mots de trop
C2
Quand le vent du nord vous écorche
Qu’en un frisson glacial il vous parcourt le dos
Quand l’œil du cyclone se rapproche
L’air de rien… et vous perce jusqu’aux os
Préref2
Partout c’est la tempête
L’orage désespoir
Le ciel se déchire sur nos têtes ;
C’est le trou noir !
Ref2
Je rends les armes
Non, je ne veux plus mordre
Aux poussières des batailles
Aux appâts des ombres au tableau
Je rends les armes
Je ne veux plus répondre
Aux rafales, aux mitrailles
Au feu des mots de trop
Pont
Tant de zéphyrs
Ont bercé nos désirs
Toutes voiles dehors…
Où sont les mots doux ?
Mais surtout
Nous réchaufferont-ils encore ?
Ref3
Je rends les armes
Non, je ne veux plus mordre
Aux poussières des batailles
Aux appâts des ombres au tableau
Je rends les armes
Je ne veux plus répondre
Aux rafales, aux mitrailles
Au feu des mots de trop
Oui ! Je rends les armes.
On vous entend clamer partout vos vérités
Dénoncer le poids, l’horreur de tous nos péchés
Vous prétendez savoir comment sauver le monde
Nos pauvres cœurs, nos âmes en perdition
Faire naître en nous le bon, tuer l’immonde
Pourvu que l’on adhère à votre confession
Ref1
Si pour entrer au paradis
Il faut faire comme vous faites
Alors merci… Je reste ici !
Si tout dépend de votre avis
Comme le croient tous vos honnêtes
Gens, je vous en prie… Partez devant !
C2
Vous dîtes avoir trouvé le chemin de la paix
Détenir de droit les clefs de l’éternité
Vous vendez de l’espoir et le meilleur des mondes
Vos « bons » prêcheurs s’habillent de passion
Tous vos adeptes auront la joie profonde
D’être sauvés s’ils serrent les dents, les boulons
Ref2
Si pour être du paradis
Il faut être comme vous êtes
Alors merci… Je reste ici !
Si tout dépend de votre avis
Comme le croient tous vos honnêtes
Gens, je vous en prie… Passez devant !
Pont
Dans l’enfer du décor
De menaces en processions
Je n’ai su voir que la mort
Sous le masque des illusions
La peur, la haine et la mort…
Fardées d’un peu de poudre d’or
Ref32
Si l’on retrouve au paradis
Ceux que vous dites que vous êtes
Alors merci… Je reste ici !
Si tout dépend de votre avis
Comme le croient tous vos honnêtes
Gens, je vous en prie… Restez dedans !
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Tu me dis que je suis belle
Dans mon berceau rose et blanc
A tricycle avec des ailes
De fée en robe à volants
Tu me dis que je suis bonne
De vouloir aider maman
Si sage quand je pouponne
En rêvant au prince charmant
Du rose… pour marquer le coup
Des bleus… à mes genoux
Des roses, les épines et la sève
Je suis une fille… fille d’Eve
C2
Tu me dis que je suis belle
Quand mes boucles dansent au vent
Quand on joue à la marelle
Quand j’ mets du rouge comm’ les grandes
Tu me dis que je suis bonne
En talons et jean moulant
Que tu m’aimerais cochonne
En boîte samedi suivant
Ref2
Du rose… pour marquer le coup
Des bleus… doux dans nos cous
Des roses, les épines et la sève
Je suis une fille… fille d’Eve
C3
Tu me dis que je suis belle
Sous mon voile en tulle blanc
Quand je frotte la vaisselle
Ou quand je douche les enfants
Tu me dis que je suis bonne...
Bonne à rien finalement
Que je n’comprends rien aux hommes
Que tu retournes chez maman !
Ref3
Du rose… pour marquer le coup
Des bleus… au cœur surtout
Des roses, les épines et la sève
Je suis une fille… fille d’Eve
Pont
Qu’on te déshabille
Qu’on te voile
Ce n’est ma fille
Que pour plaire aux mâles !
Ref4
Du rose… pour marquer le coup
Des bleus… un peu partout
Des roses, les épines et la sève
Je suis une fille… fille d’Eve.
C4
Tu me dis que je suis belle
Mais est-ce là l’important ?
Tu voudrais que je sois celle
Que je ne suis pas vraiment !
Je me dis que je suis conne
De vouloir te plaire autant
D’être celle qui pardonne
Aux gestes, aux mots humiliants
Ref5
Du rose… Du bleu…
Des roses… Des bleus
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
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Les mots peuvent parfois
S’écouter en silence
C’est un art délicat
Une fleur de patience
Ils plongent dans les cœurs
Où l’amour les inonde
Et résonnent en chœur
Quand les regards se fondent
Un geste doux connu
A force d’habitude
Etonne l’imprévu
Renoue les certitudes
Une expression rieuse
Accrochée à des lèvres
Offre la plus heureuse
La plus douce des fièvres
Sans le dire une seule fois
Te le faire comprendre
Comme la première fois
Le taire mais l’entendre
En effleurer les mots
En saisir les silences
En percevoir l’écho
En respirer l’essence
Même si nos sourires
En laissent d’autres blêmes
Et quoi qu’ils puissent en dire :
Je t’aime
Car c’est vrai qu’il est doux
Aussi de se les dire
Les entendre j’avoue
Me trouble, me chavire
Même si nos silences
Savent se deviner
Ces mots ont dans leur science
Des joies inespérée
Se le dire chaque fois
Comme pour se l’apprendre
Comme la première fois
A vouloir se surprendre
En garder les trois mots
En aveu de confiance
Les graver sous la peau
Dans nos cœurs, en alliances
Même si ton sourire
A lui seul est poème
J’aime t’entendre me dire :
Je t’aime.
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Mon enfant
Mon ange, ma lumière
Mon enfant
Le ciel et la terre
Du printemps
Qui a chassé l’hiver
Qui glissait doucement
Sur mon ventre désert
C2
Mon enfant
Ma fille, ma fierté
Mon enfant
Même si tu n’es pas née
De mon sang
Je t’aime comme on espère
De tout mon être autant
Sinon plus qu’une mère
Mon bonheur a vu le jour
Quand ta vie a croisé la mienne
Tu as ranimé l’amour
Qui dormait au lit de mes veines
Toi ma toute belle, mon présent, ma fée
Tu es venue m’apporter
Ce que mon corps n’a pu m’offrir…
Ce rêve… qui n’ voulait pas mourir !
C3
Mon enfant
Toi, mon supplément d’âme
Mon enfant
Déjà... presque une femme
Tes quinze ans
Portent en eux la flamme
De la vie qui t’attend
T’appelle et te réclame
Pré-refrain2
Mon bonheur a vu le jour
Quand ta vie a croisé la mienne
Tu as ranimé l’amour
Qui dormait au lit de mes veines
Refrain2
De tes propres ailes tu vas t’envoler
Pour t’aimer plus que jamais
Je ne veux pas te retenir…
Tes rêves… ne doivent pas mourir !
Pré-refrain Pont
Mon bonheur de chaque jour
Mon enfant
Mon amour
Rêve ! Rêve en grand !
Refrain1
Toi ma toute belle, mon présent, ma fée
Tu es venue m’apporter
Ce que mon corps n’a pu m’offrir...
Ce rêve… qui n’ voulait pas mourir !
Refrain3
De tes propres ailes tu vas t’envoler
Pour t’aimer plus que jamais
Je ne vais pas te retenir...
Les rêves… ne doivent pas mourir !
A force de briser tant de glaces
Aux fous reflets de l’amour
A force d’errer de place en place
Aux issues sans secours
Aux voies troubles et sombres
J’ai essuyé les vents
De la haine du nombre
J’en ai perdu du temps
J’ai traversé l’enfer
De ne t’avoir près de moi avant
Pourquoi s’en faire ?
Je t’ai trouvé maintenant
Et qu’importe où
Se poseront nos yeux
Nos cœurs seront pour nous
Un abri sûr en tout lieu !
A force de chercher un espace
Où cultiver notre amour
A force de marcher sur les traces
De ses fleurs de velours
Que m’inspirait ma quête
Je me suis épuisé
A fuir à la conquête
De terres oubliées
De ne t’avoir près de moi avant
Pourquoi s’en faire ?
Je t’ai trouvé maintenant
Et qu’importe où
Se poseront nos yeux
Nos cœurs seront pour nous
Un abri sûr en tout lieu !
Et si nous restions là ?
Là, plongés dans les bras
L’un de l’autre ?
Mais n’en restons pas là
L’amour vaut tous les combats
C’est le nôtre !
J’ai traversé l’enfer
De ne t’avoir près de moi avant
Pourquoi s’en faire ?
Je t’ai trouvé maintenant
Et qu’importe où
Se poseront nos yeux
Nos cœurs seront pour nous
Un abri sûr en tout lieu !
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Les mots sont parfois… difficiles,
Fébriles ou malhabiles…
Seul le silence…
Ou peut-être
Un accord au piano,
Touche avec élégance
Au plus profond de l’Etre
Ce que n’atteignent pas les mots.
Ref1
Emmène-moi
Sur ton Pianoptère
Délivre-moi
De tout vocabulaire
Que je touche du doigt
Ce qui ne se dit pas.
C2
Souvent les notes… sont subtiles,
Fragiles ou indociles…
D’une puissance !…
Seuls peut-être
Quelques mots bien choisis,
De la même substance,
Laisseront transparaître
Ce qu’on n’en aurait pas saisi.
Ref2
Emmène-moi
Sur ton Pianoptère
Confirme-moi
Que les deux font la paire
Et que l’on gagnera
À accorder nos pas.
Pont
Entre les notes,
Entre les mots
Respirent la Vie,
La passion !
Entre tes notes,
Entre mes mots
Tient toute l’alchimie
D’une chanson !
Ref3
Emmène-moi
Sur ton Pianoptère
Et l’on fera
Que la magie opère
Jusqu’au bout de nos doigts :
Piano voix.
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Pour nous j’irais En plein cœur du désert
Pour rapporter Des étangs de poussières
Les trésors admirables De la rose des sables
C2
Pour nous j’irais Creuser dedans la terre
Pour redonner Aux caresses solaires
La beauté ineffable Des roses inviolables
Ref1
Puis je ferais tourner La rose des vents
Pour retrouver mes pas… Même si je sais
Que je n’aurais qu’à Suivre le champ
Magnétique envoûtant De ton cœur aimant
C3
Pour nous j’irais Au fin fond de la mer
Pour remonter A la blonde lumière
Les fleurs insoupçonnables Des jardins insondables
C4
Pour nous j’irais Escalader les pierres
Pour décrocher Des sommets la prière
D’un vitrail ancestral Rose des cathédrales
Ref2
Puis je ferais tourner La rose des vents
Pour retrouver mes pas… Même si je sais
Que je n’aurais qu’à Suivre le champ
Magnétique envoûtant De mon cœur aimant
Pont
Et si dans mes courses folles Je perdais la boussole
Je suivrais l’étoile polaire L’ombre des cadrans solaires
Rien ne saurait m’empêcher De nous retrouver
Ref3
Je laisserais tomber La rose des vents
Pour retrouver mes pas… Puisque je sais
Que je n’aurais qu’à Suivre le champ
Magnétique envoûtant De ton cœur aimant