Auteurs de poésies et de textes de chansons William écrit depuis le début des années 90.
Son amour pour les bons mots lui confère un style vif et ciselé où la poésie et la profondeur des sentiments tiennent une place d’honneur.
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William
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A trop mordre la poussière
Pour survivre je rêvais
Que je dansais sur la lune…
A fuir sans une prière
Je me suis inventé
Des radeaux de fortune
Auxquels si souvent
Je me suis agrippé
Sans lesquels pourtant
Je me serais noyé
Vague à l’âme
Vaguement
Je divaguais l’âme
Sur un océan
Vague à l’âme
Vagabond
Seul je voguais l’âme
Bercée d’illusions
Pour éloigner la tristesse
Qui habillait mon cœur
D’un épais manteau de brume…
J’ai cru trouver la promesse
D’une idée du bonheur
Sous des vents d’amertume
Sous lesquels souvent
Mon espoir s’est glacé
Sans lesquels pourtant
Je ne t’aurais croisé
Vague à l’âme
Vaguement
Je divaguais l’âme
Sur un océan
Vague à l’âme
Vagabond
Seul je voguais l’âme
Bercée d’illusions
Prisonnier de mes voiles
Comme tombée d’une étoile
J’ai entendu ta voix
Qui murmurait mon prénom
Ta voix…
Mon prénom
Vague à l’âme
Vaguement
Je divaguais l’âme
Sur un océan
Vague à l’âme
Vagabond
J’ai croisé ta flamme
Un nouvel horizon
C1
Tu me dis que je suis belle
Dans mon berceau rose et blanc
A tricycle avec des ailes
De fée en robe à volants
Tu me dis que je suis bonne
De vouloir aider maman
Si sage quand je pouponne
En rêvant au prince charmant
Du rose… pour marquer le coup
Des bleus… à mes genoux
Des roses, les épines et la sève
Je suis une fille… fille d’Eve
C2
Tu me dis que je suis belle
Quand mes boucles dansent au vent
Quand on joue à la marelle
Quand j’ mets du rouge comm’ les grandes
Tu me dis que je suis bonne
En talons et jean moulant
Que tu m’aimerais cochonne
En boîte samedi suivant
Ref2
Du rose… pour marquer le coup
Des bleus… doux dans nos cous
Des roses, les épines et la sève
Je suis une fille… fille d’Eve
C3
Tu me dis que je suis belle
Sous mon voile en tulle blanc
Quand je frotte la vaisselle
Ou quand je douche les enfants
Tu me dis que je suis bonne...
Bonne à rien finalement
Que je n’comprends rien aux hommes
Que tu retournes chez maman !
Ref3
Du rose… pour marquer le coup
Des bleus… au cœur surtout
Des roses, les épines et la sève
Je suis une fille… fille d’Eve
Pont
Qu’on te déshabille
Qu’on te voile
Ce n’est ma fille
Que pour plaire aux mâles !
Ref4
Du rose… pour marquer le coup
Des bleus… un peu partout
Des roses, les épines et la sève
Je suis une fille… fille d’Eve.
C4
Tu me dis que je suis belle
Mais est-ce là l’important ?
Tu voudrais que je sois celle
Que je ne suis pas vraiment !
Je me dis que je suis conne
De vouloir te plaire autant
D’être celle qui pardonne
Aux gestes, aux mots humiliants
Ref5
Du rose… Du bleu…
Des roses… Des bleus
C1
Les mots sont parfois… difficiles,
Fébriles ou malhabiles…
Seul le silence…
Ou peut-être
Un accord au piano,
Touche avec élégance
Au plus profond de l’Etre
Ce que n’atteignent pas les mots.
Ref1
Emmène-moi
Sur ton Pianoptère
Délivre-moi
De tout vocabulaire
Que je touche du doigt
Ce qui ne se dit pas.
C2
Souvent les notes… sont subtiles,
Fragiles ou indociles…
D’une puissance !…
Seuls peut-être
Quelques mots bien choisis,
De la même substance,
Laisseront transparaître
Ce qu’on n’en aurait pas saisi.
Ref2
Emmène-moi
Sur ton Pianoptère
Confirme-moi
Que les deux font la paire
Et que l’on gagnera
À accorder nos pas.
Pont
Entre les notes,
Entre les mots
Respirent la Vie,
La passion !
Entre tes notes,
Entre mes mots
Tient toute l’alchimie
D’une chanson !
Ref3
Emmène-moi
Sur ton Pianoptère
Et l’on fera
Que la magie opère
Jusqu’au bout de nos doigts :
Piano voix.
En vous elle s’enracine
Vous ronge la cervelle
D’une humeur assassine
C2
Elle a ses rituels
Des manières de vieille fille
Vous provoque en duel
Danse avec sa faucille
Préref1
Ça n’arrive pas qu’aux autres
Comme on pouvait le croire
Des vents mauvais colportent
De faux bruits de couloirs
Ref1
L’amante religieuse
La maladie d’aimer
Comme elle semble envieuse
De tant d’amour caché
Elle valse à l’envi
Dans son grand bain de sang
Un sang souillé d’envie :
D’envie d’aimer pourtant
C3
De son regard cruel
Elle perce, elle étrille
Vous condamne à l’autel
Des vertus banderilles
Préref1
Ça n’arrive pas qu’aux autres
Faut-il encore le dire ?
Tous ses mauvais apôtres
Frappent sans prévenir
Ref2
L’amante religieuse
La maladie d’aimer
Comme elle semble heureuse
De tant d’amour gâché
Elle valse à l’envi
Dans son grand bain de sang
Un sang souillé d’envie :
D’envie d’aimer pourtant
Pont
La culpabilité
Est le nerf de sa guerre
En toute immunité
Elle surprend par derrière
Ses folles processions
Vous laissent sans défense :
C’est l’effet papillon
De nuits de transe
Ref3
L’amante religieuse
La maladie d’aimer
Comme elle semble envieuse
De tant d’amour caché
Elle valse à l’envi
Dans son grand bain de sang
Un sang souillé d’envie :
D’envie d’aimer pourtant
C1
Chanter la nuit, le jour,
Le soleil et la pluie
Le long, le court
Le bonheur et l’ennui
C2
Chanter le laid, le beau
La forêt, le béton
Le froid, le chaud
La folie comm’ la raison
Ref1
Chanter comme on respire
À chaque battement de cœur
Chanter pour ne rien dire
D’autre que la joie, la peur
Toujours et encore
A s’user la voix, chanter même
De plus en plus fort
Jusqu’à perdre haleine
C3
Chanter le ciel, la Terre
L’orage et l’éclaircie
Le feu, la mer
L’amour, la jalousie
C4
Chanter le bien, le mal
Les saisons, l’habitude
Le vif, le pâle
La foule et la solitude
Ref2
Chanter comme on respire
À chaque battement de cœur
Chanter pour ne rien dire
D’autre que la joie, la peur
Toujours et encore
A s’user la voix, chanter même
De plus en plus fort
Jusqu’à perdre haleine
Pont
Pour rendre grâce
Ou condamner
Pour faire face
A tout ce qui pourrait
Nous désenchanter…
Allez, vous aussi, chantez !
Ref3
Nananananana Nananananana…
Ref4
Chanter comme on respire
À chaque battement de cœur
Chanter pour ne rien dire
D’autre que la joie, la peur
Toujours et encore
A s’user la voix, chanter même
De plus en plus fort
Jusqu’à perdre haleine
Ref5
Encore et encore…
Encore et plus fort
Jusqu’à perdre haleine.
C1
Faudrait-il donc voir
Ou tout blanc ou tout noir
Sans jamais nuancer ?
Effet de miroir…
C2
Faudrait-il avoir
Tort ou raison ? Prévoir
Dans quel camp se ranger ?
Sortie de placard…
Préref1
Est-il bon pour asseoir
Un semblant de pouvoir
De toujours, toujours diviser ?
Et quel pion avancer ?
Ref1
Etrange jeu de drames
Qui foudroie le quidam
Qui dans sa tour ne sait
Qui règne sur l’échiquier
Etre ange au jeu de drames
Vous conduit, vous condamne
A passer pour fou à lier
Face à des enjeux cavaliers
C3
Si broyer du noir
Redonnait l’espoir
Qui faudrait-il tromper ?
Faut l’ voir pour le croire…
Préref2
Est-il bon de devoir
Faire souffrir pour voir
Sa douleur sur l’heure apaisée ?
A quel pion se vouer ?
Ref2`
Etrange jeu de drames
Qui foudroie le quidam
Qui dans sa tour ne sait
Qui règne sur l’échiquier
Etre ange au jeu de drames
Vous conduit, vous condamne
A passer pour fou à lier
Face à des enjeux cavaliers
Pont
Quand la vie laisse un goût d’échec
Un sombre air revêche qui mate
S’il nous faut bien survivre avec
En nous ça sonne sec et mat !
Ref3
Etrange jeu de drames
Qui foudroie le quidam
Qui dans sa tour ne sait
Qui règne sur l’échiquier
Etre ange au jeu de drames
Vous conduit, vous condamne
A passer pour fou à lier
Face à des enjeux cavaliers
C1
De travers, de bais
L’œil torve et secret
Il s’avance comme ça…
Toujours sur ton dos
Il t’a dans la peau
Il en pince pour toi…
Quand serrera-t-il
Celle qui lui sert de bras ?
Ref1
Quand c’est rigoureusement
Qu’en serpent fourbe il te tend
Le caducée…
Là oui tu sais
Qu’en ses redoutables dents
Tient tout l’art d’un provocant
Cercle vicieux…
L’art d’apprécier nos cieux
C2
Pris dans son panier
Nasse refermée
Il prépare le repas…
Sans sauce mayo
Au rayon chimio
Ses dix pieds dans ton plat…
Quand servira-t-il…
Celui qui se mange froid ?
Ref2
Quand c’est rigoureusement
Qu’en serpent fourbe il te tend
Le caducée…
Là oui tu sais
Qu’en ses redoutables dents
Se tient l’ombre d’un vacant
Cercueil hideux…
L’ombre de nos adieux !
PontA1
Dans ses démarches pitoyables
Sauras-tu faire valser le crabe ?
PontB1
Car quand son carcan serre
Tout part…
Tout part…
Tout part de travers !
Ref3
Quand c’est rigoureusement
Qu’en serpent fourbe il te tend
Le caducée…
Là oui tu sais
Qu’en ses redoutables dents
Tient tout l’art d’un provocant
Cercle vicieux…
L’art d’apprécier nos cieux !
PontB2
Quand son carcan serre
Tout part…
C3
De travers, de bais,
L’œil torve et secret
Il s’éloigne parfois.
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C1
Pour vous faire rêver
Ils déroulent à vos pieds
Des tapis de promesses
Dans de savants manèges
Vous vantent des privilèges
Aux parfums de l’ivresse
Préref1
Et si un « Tiens ! »
Vaut mieux que deux « Tu l’auras »
La lueur d’un bonheur certain
Laisse un goût de « je ne sais quoi »
Ref1
Les hypocrites du tapis rouge
Hypocondriaques du profit
Ne tendent la main ou ne bougent
Que s’ils en tirent un bon parti
Sur d’hypnotiques tapis rouges
D’hypothèses en calculs précis
A la mesure de leur fougue
Ils vous accordent du crédit
C2
Pour vous changer la vie
Ils encensent vos envies
Vos espoirs de jeunesse
A grand renfort de crème
Inventent de stratagèmes
Pour les foules en liesse !
Préref2
Et s’ils ne prêtent rien…
Rien qu’à qui le leur rendra
La tentation guide les mains
Qui s’accrochent au pouvoir d’achat
Ref2
Les hypocrites du tapis rouge
Hypocondriaques du profit
Ne tendent la main ou ne bougent
Que s’ils en tirent un bon parti
Sur d’hypnotiques tapis rouges
D’hypothèses en calculs précis
A la mesure de leur fougue
Ils vous accordent du crédit
Pont
Tapis rouges, tapis volants
Flottent nos rêves… rêves d’enfants
Tapis velours, tapis violents
Tisseurs de rêves… rouge sang !
Ref3
Les hypocrites du tapis rouge
Hypocondriaques du profit
Ne tendent la main ou ne bougent
Que s’ils en tirent un bon parti
Sur d’hypnotiques tapis rouges
D’hypothèses en calculs précis
A la mesure de leur fougue
Ils vous accordent du crédit
Si les murs ont des oreilles
Les siens ont aussi des yeux
En plus chez Mamie Mireille
Ils vous parlent même un peu
Mais rien ne vaut ses commentaires
A la lueur de ses yeux clairs
Préref1
Alors d’images en visages
Elle vous conte l’épopée
Du valeureux équipage
Qu’elle et tous les siens formaient…
Sur tous les murs de sa maison
Il y en a de tous
Ses petites filles, ses grands garçons
En noir et blanc
Ou en couleurs
Chacune d’elles en
Double dans son cœur !
C2
Si l’on prête bien l’oreille
On sent la tarte et le mousseux Mireille
Autour de Mamie Mireille
Des fous-rires au coin du feu
Et rien n’a su la rendre amère
Ni les orages, ni les guerres
Préref2
Et de baptêmes en mariages
On voit vieillir les aînés
Puis s’effacer leur image
Au fil du temps, des années…
Refrain2
Y a des photos partout
Sur tous les murs de sa maison
Il y en a de tous
Ses petites filles, ses grands garçons
En noir et blanc
Ou en couleurs
Chacune d’elles en
Double dans son cœur !
Pont
Et quand on pense avoir tout vu
Et tout connaître de sa vie
Elle retrouve un album perdu
Sous un tas d’autres un peu jaunis
Ses photos sont les bagages
D’immobiles traversées
Avec elles elle voyage
Entre deux éternités…
Refrain3
Il y en a partout
Sur tous les murs de sa maison
Il y en a de tous
Ses petites filles, ses grands garçons
En noir et blanc
Ou en couleurs
Chacune d’elles en
Double dans son cœur !
MISE EN MUSIQUE DE CE TITRE EN COURS !
C1
Je tremble En songeant à demain
Ensemble Jusqu’au petit matin
Embrassons chaque instant
Sa douce étincelle… offerte au présent
C2
J’ai froid Me voyant dans ce train
Ses voies Parallèles et sans fin
Précipitent un hiver
Qui fige mes ailes… d’une main de fer
Ref1
Mais ces jours qui viennent
Faire de l’ombre à notre amour
Sous leurs grands airs d’apocalypse
Ne seront pas éternels
Non, ces jours qui viennent
N’annoncent que le retour
D’une insolente éclipse…
Partielle
C3
Je crains De sombres lendemains
Chagrin Mon cœur trop loin du tien
Ne brille qu’à moitié
Puisque l’une d’elles… brûle à tes côtés
Ref2
Ces jours qui viennent
Faire de l’ombre à notre amour
Sous leurs grands airs d’apocalypse
Ne seront pas éternels
Non, ces jours qui viennent
N’annoncent que le retour
D’une insolente éclipse…
Partielle
Pont
Rien ne saura obscurcir
Notre amour sidéral !
Rien ne pourra l’assombrir
Pas même une éclipse… totale
Ref3
Ces jours qui viennent
Faire de l’ombre à notre amour
Sous leurs grands airs d’apocalypse
Ne seront pas éternels
Non, ces jours qui viennent
N’annoncent que le retour
D’une insolente éclipse…
Partielle
C1A
La pluie me l’avait apportée
Un matin de novembre
Gracile et irisée
Dans la lumière d’ambre
La pluie l’avait posée
Sur des brumes d’aurore
Sous un soleil mouillé
Teinté de pourpre et d’or
C1B
Et je la vis perler
Au front de ma fenêtre
Soumise, abandonnée
A l’attraction terrestre
Et je la vis rouler
Le long des mes carreaux
Sur la vitre embuée…
La goutte d’eau
C2A
Puis du rebord elle est tombée
Au creux de la rigole
Rampant sur les galets
Frôlant trois herbes folles
Fougueuse elle a sauté
Filant vers l’inconnu
Sous les feuilles rouillées
Je l’ai perdue de vue
C2B
Je l’ai imaginée
Dans ses doutes fugaces
Glissant sur les pavés
Armée de son audace
Je l’ai imaginée
Semblant donner l’assaut
Aux pierres délavées…
La goutte d’eau
C3A
Sans doute a-t-elle retrouvé
Au fil de providences
D’autres sœurs enjouées
Partageant son errance
Poursuivant son trajet
Au lit d’une rivière
Sur un fleuve argenté
Vers le bleu de la mer
C3B
Et dans l’immensité
De leurs eaux si profondes
Elle s’est ressourcée
Dans le fracas des ondes
Aux éléments mêlée
Dans l’écume des flots
Elle est toujours restée…
La goutte d’eau
C4A
Furtive, je l’ai vue passer
…
C4B
Son souvenir gravé
Au flou de ma fenêtre
En moi vient ranimer
Sa beauté, la joie d’être
Furtive elle est passée
Portant comme en écho
Le bonheur d’exister…
La goutte d’eau.
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C1
Dévore-moi des yeux
Ecoute-moi du bout de tes doigts
Délivre-moi du feu
Qui sèmerait le doute en toi
C2
Laisse-toi prendre au jeu
Fixe les règles, édicte nos lois
Attise en moi le vœu
De n’aspirer qu’à fleur de toi
Préref1
Enivre-moi de tendres mots
Habille-moi de tes silences
Fais de moi ton Eldorado
Et nous rebâtirons Byzance
Ref1
Jette-moi dans tes bras
Et dis-moi que tu m’aimes
Comme un acte de foi
Qui sans elle est œuvre vaine
Joins la parole aux gestes
Et vice versa
Ils seront, j’en atteste
Tout ce qui nous justifiera
C3
Conduis-moi où tu veux
Je te précède au vent de tes choix
Et dans ce pas de deux
Seul notre amour nous guidera
Préref2
Je sertirai d’or chaque mot
Je cisèlerai mes silences
Tu seras mon Eldorado
Et nous partirons pour Byzance
Ref2
Jette-toi dans mes bras
Entends comme je t’aime
C’est mon acte de foi
Qui sans elle est œuvre vaine
La parole et le geste
Et vice versa
Ils sont bien, j’en atteste
Tout ce qui nous justifie là
Pont
Justifions nos promesses
Justifie-toi par moi
Justifions-nous sans cesse
Justifie-moi pour toi
Ref3
Jette-moi dans tes bras
Redis-moi que tu m’aimes
Comme un acte de foi
Qui sans elle est œuvre vaine
Joins la parole aux gestes
Et vice versa
Ils seront, j’en atteste
Tout ce qui nous justifiera
Jette-toi dans mes bras…
Et vice versa
Et vice versa
C1
Quand gronde le temps des reproches
Que la foudre s’abat sur des cœurs en morceaux
Quand trop de nuages noirs s’accrochent
A des riens… et vous roulent sous leurs flots
Préref1
Des ombres vagues jettent
Du flou dans les regards
Plus rien de nous ne s’y reflète ;
Sombres miroirs !
Ref1
Je rends les armes
Non, je ne veux plus mordre
Aux poussières des batailles
Aux appâts des ombres au tableau
Je rends les armes
Je ne veux plus répondre
Aux rafales, aux mitrailles
Au feu des mots de trop
C2
Quand le vent du nord vous écorche
Qu’en un frisson glacial il vous parcourt le dos
Quand l’œil du cyclone se rapproche
L’air de rien… et vous perce jusqu’aux os
Préref2
Partout c’est la tempête
L’orage désespoir
Le ciel se déchire sur nos têtes ;
C’est le trou noir !
Ref2
Je rends les armes
Non, je ne veux plus mordre
Aux poussières des batailles
Aux appâts des ombres au tableau
Je rends les armes
Je ne veux plus répondre
Aux rafales, aux mitrailles
Au feu des mots de trop
Pont
Tant de zéphyrs
Ont bercé nos désirs
Toutes voiles dehors…
Où sont les mots doux ?
Mais surtout
Nous réchaufferont-ils encore ?
Ref3
Je rends les armes
Non, je ne veux plus mordre
Aux poussières des batailles
Aux appâts des ombres au tableau
Je rends les armes
Je ne veux plus répondre
Aux rafales, aux mitrailles
Au feu des mots de trop
Oui ! Je rends les armes.
C1
On vous entend clamer partout vos vérités
Dénoncer le poids, l’horreur de tous nos péchés
Vous prétendez savoir comment sauver le monde
Nos pauvres cœurs, nos âmes en perdition
Faire naître en nous le bon, tuer l’immonde
Pourvu que l’on adhère à votre confession
Ref1
Si pour entrer au paradis
Il faut faire comme vous faites
Alors merci… Je reste ici !
Si tout dépend de votre avis
Comme le croient tous vos honnêtes
Gens, je vous en prie… Partez devant !
C2
Vous dîtes avoir trouvé le chemin de la paix
Détenir de droit les clefs de l’éternité
Vous vendez de l’espoir et le meilleur des mondes
Vos « bons » prêcheurs s’habillent de passion
Tous vos adeptes auront la joie profonde
D’être sauvés s’ils serrent les dents, les boulons
Ref2
Si pour être du paradis
Il faut être comme vous êtes
Alors merci… Je reste ici !
Si tout dépend de votre avis*
Comme le croient tous vos honnêtes
Gens, je vous en prie… Passez devant !
Pont
Dans l’enfer du
décor
De menaces en processions
Je n’ai su voir que la mort
Sous le masque des illusions
La peur, la haine et la mort…
Fardées d’un peu de poudre d’or
Ref32
Si l’on retrouve au paradis
Ceux que vous dites que vous êtes
Alors merci… Je reste ici !
Si tout dépend de votre avis
Comme le croient tous vos honnêtes
Gens, je vous en prie… Restez dedans !
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C1
Mon enfant
Mon ange, ma lumière
Mon enfant
Le ciel et la terre
Du printemps
Qui a chassé l’hiver
Qui glissait doucement
Sur mon ventre désert
C2
Mon enfant
Ma fille, ma fierté
Mon enfant
Même si tu n’es pas née
De mon sang
Je t’aime comme on espère
De tout mon être autant
Sinon plus qu’une mère
Mon bonheur a vu le jour
Quand ta vie a croisé la mienne
Tu as ranimé l’amour
Qui dormait au lit de mes veines
Toi ma toute belle, mon présent, ma fée
Tu es venue m’apporter
Ce que mon corps n’a pu m’offrir…
Ce rêve… qui n’ voulait pas mourir !
C3
Mon enfant
Toi, mon supplément d’âme
Mon enfant
Déjà... presque une femme
Tes quinze ans
Portent en eux la flamme
De la vie qui t’attend
T’appelle et te réclame
Pré-refrain2
Mon bonheur a vu le jour
Quand ta vie a croisé la mienne
Tu as ranimé l’amour
Qui dormait au lit de mes veines
Refrain2
De tes propres ailes tu vas t’envoler
Pour t’aimer plus que jamais
Je ne veux pas te retenir…
Tes rêves… ne doivent pas mourir !
Pré-refrain Pont
Mon bonheur de chaque jour
Mon enfant
Mon amour
Rêve ! Rêve en grand !
Refrain1
Toi ma toute belle, mon présent, ma fée
Tu es venue m’apporter
Ce que mon corps n’a pu m’offrir...
Ce rêve… qui n’ voulait pas mourir !
Refrain3
De tes propres ailes tu vas t’envoler
Pour t’aimer plus que jamais
Je ne vais pas te retenir...
Les rêves… ne doivent pas mourir !